Chapitre 1
LOUVRES - 23h00
L'un des musée les plus visité au monde semble bien vide la nuit. Les ouvres exposé ne sont éclairé que par la lune, à travers les grandes fenêtres, ou les lampes torches des veilleurs de nuits. Les bruits de pas raisonnes dans les long couloirs, et un des veilleurs à justement presque terminer sa ronde. Aucun éléments suspect en vue, tout les tableaux sont à leurs place. Robert, l'un des veilleurs de nuit passe devant la Joconde, protégé par son sarcophage de verre. Il s'y arrête quelques secondes, observant ce tableau énigmatique que des centaines de touriste asiatique viennent voir chaque jours. Il est à ce poste depuis plus de vingt ans, et ne comprends toujours pas tout l'engouement qu'on peux lui trouver, en plus le peintre à oublié de lui faire des sourcils. Il reprends sa ronde, et arrive dans l'un des post de surveillance, d'ou l'on peux voir une partie du musée à travers quelques centaines de caméra de sécurité peuplant le musée. Rien d'anormale se soir là, encore une fois. La cafetière à tout juste finis de passer le café, et robert sait qu'il va en boire la totalité pour pouvoir resté éveillé. Mais soudain, un hurlement étrange interrompe sa routine. Ce cris semblait provenir d'un couloir non loin du poste de surveillance. Affolé, il reprends la lampe torche qu'il avait posé sur le bureau et sort de la salle en courant. Le cris retentis de nouveau, raisonnant dans les grands couloirs. Il inspecte chaque recoin, chaque fenêtre, balayant toute les pièce avec sa lampe. Il passe de nouveau devant la Joconde, puis revient sur ses pas, troublé par quelques chose. Il éclaire le tableau avec sa lampe, et surprise, le visage énigmatique du tableau est remplacer par un visage semblant sortie des enfers. Les long cheveux noirs font place à des flammes vertes et bleu. Les yeux sont révulser. Le sourire marquer par deux grande dents pointus. Deux cornes trône sur le fronts. Puis plus rien, le tableau et redevenus normale. Il n'en crois pas ses yeux, ses jambes deviennent faibles, il tombe par terre et lâche la lampe torche qui roule plus loin dans la pièce. Le cris se fait entendre de nouveau, mais cette fois si il semble être bien plus proche. Robert se retourne doucement, comme si il sentait une présence derrière lui. Et il revoit cette effrayant visage derrière lui, flottant dans la pièce, mais cette fois ci, il peux également voir le corps, difforme, rien ne semble humains. mais avant qu'il est le temps de crier à l'aide, la créature fonce sur lui et passe au travers pour continue vers la Joconde.
L'ecto-mobile, plus toute jeune, et crachant de la fumé par le pot d'échappement, travers à vive allure les rue désertes du Paris nocturne. A sont bord, deux chasseurs de fantôme, le Docteur Jon Smith, et Kaison, deux des fondateurs de la branche française des Chasseurs de fantômes. La sirène résonant dans les rue, les murs éclairé par les gyrophares.
- Aaaahhhh ! J'aurais du dormir avant de partir, je suis complètement crevé. Dit John Smith, tout en baillant.
- Oh oui certainement. Tu as vraiment l'air crevé, fait gaffe avec le pack, j'ai pas envie de me retrouver avec une partie de mon corps, ou un collègue en moins.
- T'en fait pas, je suis pas non plus sur le point de m'évanouir. Alors on va ou au juste ?
- Au Louvres, apparemment ils y as un spectres de type 6 qui y sévie. Un des gardien à été traverser par le spectre. Apparemment il semblerait venir de la Joconde.
- La Joconde! cria avec stupéfaction John. ça tombe bien, je ne l'ai jamais vus de prêt. Dit moi, ça va pas être un peux dangereux pour les tableau nos pack ?
- Je pense pas, si on vise bien et puis tant pis, ils n'avait qu'à pas nous appeler.
La voiture s'arrête devant la grande pyramide du Louvres. Nos deux chasseurs sortent et ouvres le coffres pour y prendre leurs Pack à Proton ainsi que plusieurs pièges. Puis ils se dirigent vers une des entrée latérale, là ou plusieurs veilleurs les attendent.
- C'est ici qu'est le cafard ? demanda de façon ironique à l'un des veilleurs.
- On sait pas ce que c'est, mais en tout cas c'est pas vivant, du moins plus maintenant. Ma cousine avait fait appel à vous, alors j'ai tout de suite su qui appeler.
- N'ayez crainte, vous avez affaire à des pro. répondis Jon.
Les veilleurs emmènes nos deux chasseurs vers la salle ou le fantôme à été vus pour la dernière fois. Tous les lumières du Louvres ont été allumés. Ils parcoure plusieurs salles remplie de trésors artistique, admirent même certaines de façon furtive. Le travail avant tout. ils entre dans la salle contenant la Joconde, le garde ayant été attaqué est toujours allongé sur le sol, recouverts intégralement d'une substance visqueuse verdâtres, du slime probablement. Pendant que Jon inspecte le corps avec son psychotensiomètre, Kaison lui observe tout autour de lui avec les ecto-goggle .
- Quelques chose de ton coté ? demande Kaison.
- C'est étrange, le PKE à du mal à définir la substance, tout semble indiqué qu'il s'agit de slime commun, et pourtant, il y as un petit quelques chose supplémentaire qui perturbe la détection. Je devrais prendre un échantillon.
- Fait ça, je suis sur que Raymond seras ravis de le testé.
- Alors vous pouvez nous débarrassé de ce truc ? demanda l'un des gardien, ne comprenant rien à tout le jargon technique prononcé.
- oui oui, je pense qu'en un rien ...
- Viens vite ici avec le PKE ! cria kaison.
- Quoi, Quesqu'il y as ?
Jon examina la Joconde avec le PKE, l'engin crépita d'une manière intense, les ailles dressé. Indiquant clairement la présence d'une entité spectrale de catégorie élevé.
- Ouch ! C'est chaud. Alors là je crois qu'on as touché le gros lot. exclama Jon.
- D'accord, mais Quesque l'on fait, on va quand même pas tiré avec nos pack sur ce tableau, pas du Léonard de Vinci quand même.
- Non je pense pas que l'on en auras besoin, l'entité semble vivre derrière le tableau. Personne n'as été emmuré ici , pas d'ouvrier mentionné perdue ? demanda Jon aux deux gardien, dont les bouches était grande ouverte.
Le spectre qui avait tué le premier gardien ce tenait devant eux. Malgré la lumière, ont pouvais clairement voir les cheveux de feu vert du spectre. Et il ne semble pas amicale. Jon pointe son PKE dans sa direction, mais l'appareils semble pris du même problème qu'avec le slime, brouiller par une chose encore inconnue. Murmurant à l'oreille de kaison, il lui demande de se jeter sur les deux gardes pour les plaques au sol, pendant qu'il ferras feux sur le spectre avec son pack. Mais il semble qu'il ait malheureusement parlé trop fort, le spectre se retourne et ce jette sur jon. A ce moment précis, Kaison mets en marche son pack et tire une effluve qui vient d'abord percuté les quelques tableau du mur d'en face pour finir par capturé l'ectoplasme. Jon jette le piège à terre et le d'éclanche, le rayon de lumière vive entoure le spectre et l'aspire dans le piège. Les petites trappes ce refermes et l'indicateur s'allume pour signaler que le fantôme et piégé.
- Non de zeus ! Et bien lui il était coriace, exclama Kaison. T'est sur que c'était un type 6.
- On vérifiera quand on sera de retour à l'entrepôt. prend le piège, je fait une dernière vérification avant de partir. Oh est, ou sont les gardes ?
- Je crois qu'ils sont parties en courant, j'aimerais pas être à leurs places quand ils vont devoir annoncer que quelques tableaux ont été abimé cette nuit.
- ça c'est de ta fautes, toujours à visé plus large qu'il ne faut. Cela dit, belle capture. Retourne à la voiture je vais donnez aux gardes la facture. Attends voir !!
Le PKE dans la main de Jon c'était tout d'un coup excité, au sol, une flaque de slime noir légèrement bleuté, semblant respiré. Jon se penchât au dessus pour l'examiné de plus prêt, il approcha le PKE de la substance, l'écran affichait des pic d'énergie psychokinétique jamais enregistré, elle était si fort que l'appareille explosa littéralement dans ses mains.
- Kaison ! On as un problème, ramène la mallette, il faut qu'on prélève un échantillon.
QUELQUE PART DANS PARIS - 00h10
La rue était déserte, une petite ruelle, se terminant en impasse, permettant d'accéder à quelques une des plus vielle maison de Paris. L'une d'entre elle était inhabitée depuis plus de 20 ans. Personne ne voulait l'acheté, même l'agence immobilière la possédant ne voulait plus en entendre parler. tout les anciens locataires ont subitement déménagé ou même disparue. Même les voisins n'était pas rassuré, personne n'osait réellement s'en approcher. La nuit on pouvais voir quelques lueurs aux fenêtres, comme si un esprit l'habitait toujours. Mais cette nuit, ce fut bien pire. Les voisins furent même réveillé par un tremblement, puis par un bruit sourd. Quelques chose semblait avoir percer le sol de cette maison. Mais personne n'osa allez vérifié. Le lendemain, la vie reprit comme si de rien était.